Maîtriser le risque


L’accompagnement offert par les gestionnaires du Groupe Perron Sénécal aide les investisseurs à faire face aux nombreux dangers qui les guettent, leur permettant ainsi de mieux se concentrer sur l’atteinte de leurs objectifs à long terme et de mettre en place un plan pour y parvenir.

Fort d’une expérience de plus de 25 ans, le Groupe Perron Sénécal a identifié ces quatre grands dangers auxquels ses clients font face :

 

L'émotion

Difficile parfois de ne pas se laisser emporter par l’actualité. Lorsqu’une action pique du nez et que les profits s’évaporent, le premier réflexe consiste souvent à vendre rapidement. Or, mieux vaut prendre le temps d’évaluer la situation de façon posée et raisonnée. Un coup de coeur ou un coup de gueule peuvent rapidement faire dérailler une stratégie qui pourtant offre tout le potentiel d’atteindre ses objectifs.

FAIT : Selon le Centre interuniversitaire de recherche en analyse des organisations (CIRANO), les Canadiens qui ont un conseiller financier voient leurs actifs atteindre des performances une fois et demie plus élevées que ceux qui n’en ont pas. La discipline d’épargne est nettement meilleure chez les Canadiens conseillés que chez les autres selon M. Montmarquette, ancien président du CIRANO. www.cirano.qc.ca

 

Les produits présentant trop de complexité

Certains produits financiers présentent un degré élevé de complexité, parfois même un manque flagrant de transparence. Ce que certains initiés considèrent comme l’offre du siècle peut rapidement se transformer en mauvais investissement pour les néophytes. Ne pas saisir la nature exacte du produit qu’on acquiert peut mener à de bien mauvaises surprises.

FAIT : Le billet à capital protégé (BCP) est un exemple de produit financier opaque. Selon l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), les investisseurs dans ce type de placement doivent savoir que rien ne garantit qu’ils obtiendront davantage que leur placement initial. En plus, en raison des frais rattachés aux BCP, même si le placement sous-jacent affiche un bon rendement, il peut être difficile de faire un profit sur le placement. www.lautorite.qc.ca
 

L'inflation

Le coût de la vie fait bon an, mal an diminuer la création de richesse de l’investisseur. Un rendement annuel de 10 % n’est pas aussi intéressant si le taux d’inflation se situe à 8 % plutôt qu’à 3 %.

FAIT : Une épargne de 100 000 $ en 1915 équivaut, en terme de pouvoir d’achat, à près de 2M $ 100 ans plus tard, selon les données de Statistique Canada. Pendant la décennie du 1er janvier 1973 au 31 décembre 1982, le taux d’inflation annuel au Canada fut de 9,6% en moyenne. Au niveau des actions ordinaires, les titres liés aux ressources naturelles performent mieux durant les périodes inflationnistes, alors que la valeur des obligations généralement diminue. www.statcan.gc.ca

 

Les taxes sur le revenu

La loi sur l’imposition a un impact significatif sur le rendement d’une stratégie d’investissement et sur les finances personnelles. Ne pas bien connaître ou appliquer les mesures fiscales en vigueur peut faire perdre des sommes considérables au contribuable investisseur.

FAIT : Selon le CQFF (Centre québécois de formation en fiscalité), au taux marginal d’imposition maximal en 2013, le contribuable québécois paie 50 % d’impôts sur son revenu d’intérêt, 35,2 % sur ses revenus de dividende admissible et 25 % sur ses gains en capital. Un regard sur la pyramide des âges du Québec, et sur la croissance des trois postes les plus importants du cadre budgétaire de la province (santé, éducation, service de la dette) démontre la situation vulnérable des finances publiques. La pression sur les revenus gouvernementaux demeurera forte afin que les services à la population soient maintenus. www.cqff.com